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Benjamin Castaldi et sa famille placés sous protection depuis un clash dans TPMP: "On m'a dit 'on va éventrer ton petit dernier'"

Il y a 10 jours, Benjamin Castaldi et René Malville se sont disputés sur le plateau de Touche pas à mon poste. Suite au clash, le chroniqueur marseillais a décidé de quitter l'émission. "Je m'en vais. Je me casse moi. Je suis pas là pour faire le comique de la troupe. Je suis pas là pour faire le comique des petits bobos parisiens là", avait lancé l'homme vexé par les moqueries des chroniqueurs. 

Depuis cet échange, Benjamin Castaldi vit des moments difficiles. Le chroniqueur et sa famille seraient victimes de menaces de mort. Des internautes auraient même menacé d'éventrer Gabriel, le dernier fils de l’animateur âgé de 3 mois, selon l'animateur.

Depuis, Benjamin Castaldi et les siens sont sous protection. Il a quitté les réseaux sociaux temporairement. 

"Ça a déchaîné des centaines de messages haineux, de mort, ignobles, je ne vais pas porter plainte pour l’instant parce que je pense que la justice française a autre chose à foutre que de s’occuper de ce genre de problèmes déclenché par des abrutis. En revanche, ce qui me dérange le plus c’est par rapport au harcèlement que subissent mes enfants et ma femme sur les réseaux. Allez-y sur moi, ce n’est pas grave, j’ai 20 ans de métier, mes enfants et ma femme ça me dérange beaucoup plus, parce qu’eux sont vraiment traumatisés", a expliqué Benjamin Castaldi en story Instagram le 18 novembre. 

"On m'a dit 'on va éventrer ton petit dernier'"

Vendredi, Benjamin Castaldi en a dit plus dans Touche pas à mon poste sur les menaces qu'il reçoit. "Ce que j'ai vu sur les réseaux c'est au-delà de ce qu'on peut imaginer. Parce que j'ai ri, des abrutis, des crétins menacent (...) Parce que j'ai eu un fou rire, parce que je suis là pour amuser les gens, et pour rire, je me fais chier dessus. Ça c'est pas très grave. Mais ma famille, mes enfants, on parle de l'âge de René qui a 73 ans, moi j'ai Julien et Simon qui ont une grand-mère qui n'est pas dans le métier, qui a 76 ans, qui est abonnée à 2 comptes. Elle appelle en larmes, elle dit 'mais, qu'est-ce qui se passe ? On veut tuer mes petits enfants ? (...) On m'a dit 'on va éventrer ton petit dernier', 'on va buter ta famille', 'on va te faire la peau connard', c'est aussi court que ça. (...) Faut savoir ce que c'est le harcèlement. Qu'on touche mes enfants ça fait de la peine; ma femme elle était en colère; je vous dis franchement, je me suis excusé auprès de René, mais on en est là aujourd'hui. Il faut s'excuser parce qu'on rigole ?", a détaillé l'homme.


L'animateur, invité dans Face aux médias sur Non-Stop People est revenu sur cette affaire, le 25 novembre. 

"On lui a monté le bourrichon. Je pense que dans sa famille, ils ont l’impression qu’on se moque de lui alors que pas du tout. On rit avec lui. (…) Je peux comprendre qu’il l’ait mal pris, mais on ne va quand même pas maintenant avoir des procès d’intention ou pire se faire casser la gueule parce qu’on a rigolé ou qu’on a eu un fou rire. On va espérer que tout ça ne sont que des mots, parce que si les gens passent à l’acte, je ne peux pas me résoudre à avoir peur de passer à la télévision, et pourtant les temps étant ce qu’ils sont, il va falloir commencer à faire attention. J’ai changé d’itinéraire quand je vais au studio, un coup, je prends la bagnole, la moto. Je suis sous protection. Je n’ai pas peur, mais si je tombe sur le seul connard qui va vouloir me casser la tête, autant être protégé, moi et lui, d’ailleurs, de ma réaction", a précisé l'animateur. 

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