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Comédien et humoriste ayant percé via le Jamel Comedy Club, D’jal était l’invité du RTL Avec Vous ce midi. L’occasion de présenter son dernier film qui promet d’être aussi drôle que mouvementé.
C’est avec un grand sourire que D’jal est venu présenter "Opération Portugal 2 : la vie de château", sa toute nouvelle comédie qui sortira sur grand écran le 7 février.
Un film populaire, plein de rebondissements où petits et grands trouveront leur bonheur. "C’est un peu ce qu’on faisait dans le jus des années 80. C’est un film qui va à cent à l’heure, un film familial. C’est une grosse comédie où tous les enjeux se jouent dans le château. Un film sur le vivre-ensemble, avec cette communauté maghrébine et portugaise. Il y a plein de personnages haut en couleur. C’est la suite du 1, encore plus explosive, encore plus rythmée", explique-t-il en plateau.
Il s’agit du deuxième film basé sur le même concept : un flic arabe musulman, en l’occurrence D’jal, qui doit se faire passer pour un Portugais.
Comment est venue cette idée ?
"Je me suis fait connaître par le grand public avec ce sketch de l’hélicoptère, ce qui a complètement changé et ma vie et ma carrière. J’avais déjà ce film en tête et voilà, je l’ai proposé à un producteur qui m’a dit : "Je vais y aller". Je lui ai dit que je voulais que ce soit une comédie familiale, sur le métissage", raconte-t-il.
"Ce que j’aime dans les retours qui me reviennent, c’est qu’on dit que ça fait du bien, que cette comédie arrive à point nommé parce que ça parle de tout le monde et que c’est jamais méchant. C’est plutôt bon enfant… On a même un imam fan de Jean-Claude Van Damme !", ajoute-t-il hilare.
Une comédie, certes, mais durant laquelle le spectateur n’aura pas le temps de se tourner les pouces : "Quand je l’ai écrit, je voulais vraiment qu’il y ait tout le temps du rythme. Je voulais pas que le public s’ennuie, je voulais qu’il rie. Et puis, comme j’ai dit, j’ai regardé les anciennes comédies des années 70, Louis de Funès et tout, et on ne se rend pas compte à quel point c’était rythmé. C’était extraordinaire".
"Ma vie, ça a été que du partage, de l’amour et j’aimais cette communauté (Portugaise ; NDLR) parce qu’elle ressemble à la mienne. Elle n’avait pas la même langue, pas la même culture, mais elle avait ce sens de la famille", a-t-il conclu.
